En 2005, lorsque Jean Boissonnat présentait son ouvrage Dieu et l’Europe, Jean Boissonnat citait Pierre Teilhard de Chardin comme étant un de ses maîtres : « Trois de mes maîtres ont façonné ma vision des choses sur ces sujets. Emmanuel Mounier m’a expliqué que la fin de la chrétienté était sans doute le début d’un christianisme plus fidèle à l’enseignement de Jésus. Henri de Lubac m’a montré les aspects sociaux du dogme chrétien qui ne peut pas être une simple religion de la consolation individuelle si elle veut être fidèle à sa vocation historique.  Pierre Teilhard de Chardin m’a convaincu que l’humanité était la conscience de l’évolution du monde et que la création se poursuivait sous nos yeux et, pour une part, de nos mains. »

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